Les réunions se multiplient au sein de la Fédération Camerounaise de la discipline depuis quelques jours afin d’assurer une réussite totale à l’organisation de la Coupe du Cameroun prévue ce weekend à Yaoundé.
Après l’épopée glorieuse de la Cameroon Weightlifting Team aux Jeux africains tenus récemment à Accra au Ghana, la Fédération Camerounaise d’Haltérophilie sera à nouveau sous les feux des projecteurs ce samedi 8 juin 2024 à l’occasion de la Coupe du Cameroun de la discipline. C’est la maison du parti de Nkomkana à Yaoundé qui servira de cadre à cet évènement. « La Fédération Camerounaise d’Haltérophilie est en train de préparer la Coupe du Cameroun de la discipline. Nous avons déjà tenu deux réunions préparatoires audit évènement. Nous avons mis sur pieds plusieurs commissions. Nous souhaitons que l’évènement soit une réussite totale. Tout est fin prêt. L’innovation sera beaucoup plus au niveau technique. Les techniciens se sont battus pour avoir une compétition assez représentative. Et, à partir des engagements, ils apporteront les modifications nécessaires. Le public est invité à venir nombreux pour assister au spectacle », déclare Constantin Enama, Secrétaire Général de la Fédération Camerounaise d’Haltérophilie.
A en croire le Directeur Technique National, Mme Ndolo Matam, sur le plan technique, les petits plats sont en train d’être mis dans les grands pour assurer un spectacle de qualité. « Nous avons déjà arrêté le nombre de plateau. Nous avons déjà l’ossature du programme de la compétition. Nous avons déjà désigné les officiels techniques qui prendront part à la compétition et nous sommes déjà en train de monter un règlement spécial de la compétition pour pouvoir améliorer le Timing. Je peux d’ores et déjà vous promettre que la fête sera belle », argumente-t-elle.
Cette compétition sera l’occasion pour les passionnés de cette discipline sportive de voir à l’œuvre les tenors de l’heure à savoir : Ngadja Nyabeyeu (double médaillé d’Or aux Jeux Africains), Eyenga Mbo’ossi ou encore Adèle Estelle Momeni. Le rendez-vous est donc pris.
Par Christelle NGUELE
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